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Il me fait des choses qui me gÚnent » Les premiers faits remontent au 1 er janvier 2012. Le grand-pÚre qui gardait réguliÚrement les trois filles ùgées respectivement de 3, 5 et 7 ans, mais aussi deux garçons, à son domicile de Chazay-d'Azergues, avait pris pour habitude de passer sa main sous la culotte de celles-ci pour leur dire bonne nuit, tout comme il leur caressait la
FilmXxx avec une adolescente sexy dans laquelle elle fait l'amour avec son mec . 07:50 La mĂšre perverse fait sentir son sous-vĂȘtement Ă son beau-fils 96 vues. Elle enlĂšve sa culotte devant son beau-fils et la jette sur son visage.Il . HD 08:25 Anal brutal poing dĂ©truit son petit trou du cul 56477 vues.
SYLVIE PORTE DES BAS Quand on noue une relation avec une femme, qu'on l'admette ou non, pour nous les hommes, le physique est un Ă©lĂ©ment important. AprĂšs bien sĂ»r arrive le fait de pouvoir s'entendre. Si on a des valeurs qui ne sont pas forcĂ©ment proches, on a des conflits rĂ©dhibitoires, difficile d'aller avec quelqu'un. En tout cas, je sais bien que l'une des raisons qui m'a attirĂ© vers Sylvie, ca a Ă©tĂ© qu'elle avait des jambes vraiment magnifiques. Si vous regardez attentivement des femmes dans la rue, et si vous observez leurs jambes, vous vous rendrez vite compte que des jambes vraiment bien dessinĂ©es, il n'y en a pas beaucoup. Il y a toujours un dĂ©faut de-ci, de lĂ . Sylvie, elle, avait des jambes parfaitement dessinĂ©es. Sans un dĂ©faut. Elle en Ă©tait d'ailleurs totalement consciente, et elle les mettait en valeur. Une grande partie de ses tenues, c'Ă©taient des robes et des jupes qui s'arrĂȘtaient trĂšs haut sur la cuisse et qui dĂ©gageaient ainsi au maximum le charme de ses jambes longues et fines, parfaitement galbĂ©es, qui Ă©taient souvent magnifiĂ©es par des collants. C'est d'ailleurs comme ça que je l'ai regardĂ©e, souvent. Assez ironiquement, je ne la voyais pas trĂšs longtemps comme cela. En effet, elle Ă©tait au mĂȘme club sportif que moi, et je la voyais arriver en tenue de ville, puis elle basculait sur un Ă©quipement sportif. C'Ă©tait autre chose, mais qui avait aussi largement son charme. Aujourd'hui, les tenues de sport, avec de nouveaux matĂ©riaux, sont extrĂȘmement collantes, comme une seconde peau, dĂ©voilant plutĂŽt que de masquer, et elles soulignaient AUSSI le charme de ses jambes, mais pas que, collant Ă ses fesses charnues, et dessinant son sexe de maniĂšre trĂšs prĂ©cise. Et puis...Un soir, je lui ai proposĂ© qu'on aille boire un cafĂ© ensemble...Elle a acceptĂ©...On s'est donc revus hors du sport. Des moments ensemble, jusqu'au soir oĂč elle m'a dit 'Si tu passais la nuit chez moi?' Et depuis ce moment, on se voit chez elle ou chez moi. Je lui avais clairement dit que j'Ă©tais fou de ses jambes. 'Je suis bien consciente que c'est l'un de mes atouts', m'avait-elle rĂ©pondu. Elle me laissait les regarder, les caresser, nues ou quand elle portait des collants, et glisser mes mains sur le nylon. Ce que je trouvais extrĂȘmement troublant, c'Ă©tait qu'il lui arrivait de porter une petite culotte dessous, mais aussi de ne rien mettre sous son collant, de l'avoir Ă mĂȘme la peau. Et dans ce cas, c'Ă©tait sacrĂ©ment perturbant que de surprendre le relief et le dessin de son sexe, les rondeurs de ses fesses, directement au contact du lycra. C'Ă©tait d'autant plus excitant que si, dans l'intimitĂ©, je dĂ©couvrais son intimitĂ© quand elle se penchait, s'asseyait subrepticement, quelques secondes ou un peu plus longtemps, je ne devais pas ĂȘtre le seul Ă ĂȘtre aussi troublĂ©, puisque, quand j'Ă©tais avec elle, elle rentrait du travail ou y allait. J'imaginais bien la scĂšne, les perturbations chez des collĂšgues pas forcĂ©ment masculins... On est heureux parfois pour peu de choses. Mais ce peu de choses peut signifier beaucoup pour vous. J'avais une autre envie, pourtant. Pas seulement un fantasme, mais j'Ă©tais troublĂ©, et je n'Ă©tais pas le seul, je le savais bien, par les femmes qui portaient des bas. C'Ă©tait une autre conception du nylon. Si j'avais du d'ailleurs choisir entre bas et collants, je ne sais pas ce qui l'aurait emportĂ©. Vous le savez certainement, les collants ne tiennent pas trĂšs longtemps. Les premiers collants Ă©taient increvables. Les fabricants ont fait en sorte, en modifiant leur structure chimique, qu'au bout de quelques utilisations, ils filent ou se dĂ©chirent, et qu'il faille en acheter d'autres. Il fallait imposer un rythme de consommation. De toute invention, on fait un commerce. Je lui en rachetais donc de temps en temps. Des modĂšles qui me plaisaient, et que je glissais dans son tiroir Ă collants. Dont j'aimais les teintes et les motifs. Et elle les portait, C'Ă©tait devenu une habitude pour moi de regarder au supermarchĂ© quels types de collants on pouvait trouver. Il y avait toujours des nouveautĂ©s. C'est comme ça que j'ai portĂ© mon attention sur les bas stay-up. Ils Ă©taient un peu Ă l'Ă©cart des collants classiques, et je me suis dit qu'ils orneraient parfaitement ses jambes et qu'ils les orneraient diffĂ©remment. Ca serait un autre trouble, une autre excitation. J'ai donc fait l'emplette d'une boite de bas stay-up et je les ai glissĂ©s dans son tiroir, en rentrant des courses. Et je n'y ai plus pensĂ©. Jusqu'Ă ce jour fĂ©riĂ©. On a traĂźnĂ© le matin en petite tenue. AprĂšs la douche, elle est apparue avec une robe noire, simple et courte. Elle s'est posĂ©e sur le canapĂ©. Pauvre naif que je suis. Je ne me suis mĂȘme pas rendu compte qu'elle s'Ă©tait parĂ©e, et parĂ©e diffĂ©remment. La robe est remontĂ©e quand elle s'est assise, elle l'a sans doute un peu aidĂ©e. Et elle m'a clairement offert de nouvelles perspectives. Finalement, je n'avais rien Ă regretter, et surtout pas mon achat. J'avais de nouvelles perspectives sous les yeux. Le nylon des bas arrivait Ă mi-cuisses. Son point d'arrĂȘt,c'Ă©tait une jarretiĂšre Ă©lastiquĂ©e de dentelle noire, qui permettait au bas de tenir sans autre soutien. Bien pratique, finalement. Au-delĂ , il y avait de la chair nue, et un slip blanc dont le tissu Ă©tait tendu par le renflement de son sexe. -Le tableau te plait? -J'en rĂȘvais, mais je n'osais l'espĂ©rer. -Aujourd'hui, on a du temps, C'Ă©tait le moment de les essayer. Tu peux regarder, mais tu pourras aussi toucher quand tu voudras. -Il ne faut pas me le dire deux fois. J'avais rĂȘvĂ© la sensation du nylon au bout de mes doigts, couplĂ©e Ă celle de la chaleur montant de son corps. Elle est devenue rĂ©alitĂ© quand j'ai posĂ© les doigts sur elle. -J'aime quand tu me caresses. Et moi j'aimais sa franchise, et qu'elle me dise et m'offre ce que d'autres ne me disaient pas et ne m'offraient pas. Elle avait bien raison. On avait la journĂ©e pour nous, et tout le temps pour en profiter. Sans penser qu'il allait falloir partir travailler. Le temps avait une autre consistance, une autre Ă©paisseur, et on s'inscrivait dans cette durĂ©e diffĂ©rente. Je suis restĂ© longtemps sur ses jambes. Je savais que pour elle, c'Ă©tait une zone Ă©rogĂšne, et je pouvais imaginer qu'elle y prenait autant de plaisir que moi. Elle se laissait aller, les jambes offertes, et le tissu de la culotte blanche, d'abord sec, Ă©tait Ă prĂ©sent marquĂ© par une tache d'humiditĂ© qui s'agrandissait de seconde en seconde. Je suis remontĂ© au-delĂ des bas. Elle avait une peau douce, agrĂ©able Ă caresser, quelle que soit la zone caressĂ©e. Je suis passĂ© sur ses aines, sans aller au-delĂ de la lisiĂšre de son slip. Ătait-ce un effet d'optique, ou bien la rĂ©alitĂ© ? Plus je me rapprochais de la culotte, plus le tissu semblait s'humidifier. Elle avait en tout cas basculĂ© indubitablement dans un moment intermĂ©diaire, entre la rĂ©alitĂ© et le plaisir, pas totalement dans l'un, pas totalement dans l'autre, les yeux mi-clos et le regard ailleurs, la respiration lourde, elle semblait avoir de plus en plus de plaisir, et je n'avais pas imaginĂ© que ce puisse ĂȘtre le cas. Il y avait toujours un moment, quand on faisait l'amour, oĂč elle me guidait, et ça a bien Ă©tĂ© le cas. -Je veux que tu me caresses Ă travers ma culotte, ensuite que tu l'enlĂšves, et que tu me caresses sans obstacle. C'Ă©tait au moins clair. Mes doigts ont glissĂ© sur le coton lisse, qui portait sa chaleur, tendu par la forme de son sexe. C'Ă©tait excitant de la caresser ainsi, peut-ĂȘtre plus que si son sexe avait Ă©tĂ© nu, et de le sentir sans le voir. La pente de son pubis, la masse de son sexe, l'ouverture au milieu, qui, semblait-il, s'accentuait nettement alors que je la caressais, et le jaillissement de liquide qui venait mouiller le coton, et s'ajouter Ă la tĂąche d'humiditĂ©, la faisant s'Ă©largir...Je l'ai massĂ©e trĂšs doucement, la faisant gĂ©mir. Le tissu s'enfonçait entre ses lĂšvres. -Pousse le tissu Ă l'intĂ©rieur, elle m'a proposĂ©. Ca me frotte, c'est bon. Va aussi loin que tu peux...C'est trĂšs bon...Je crois que je vais jouir... Elle a effectivement eu le corps agitĂ© par des spasmes, se tendant, et une grande quantitĂ© de liquide a jailli, trop importante pour que le coton absorbe tout, venant encore Ă©largir l'aurĂ©ole, mais coulant aussi Ă ses aines, trempant sa chair, et le canapĂ©. -Embrasse-moi maintenant. Je suis venu prendre sa bouche, et j'ai mordillĂ© ses lĂšvres, avant de partir Ă la rencontre de sa langue. Nous les avons frottĂ©es l'une contre l'autre. Je m'Ă©tais redressĂ© pour l'embrasser. Je me suis laisser descendre un peu, glissant les mains au niveau de sa taille, la robe avait remontĂ© pendant qu'elle se trĂ©moussait sur le divan, il y avait juste un ou deux centimĂštres encore couverts, de la sorte j'ai pu attraper son slip au niveau de son Ă©lastique, et j'ai entrepris de le tirer vers le bas, sans qu'elle s'y oppose. Je l'ai tirĂ© jusqu'Ă ses genoux, puis, me laissant glisser Ă nouveau sur le sol, Ă ses chevilles. Elle a dĂ©gagĂ© une de ses jambes, le slip n'Ă©tant plus qu'une boule de tissu accrochĂ©e Ă une cheville et a Ă©cartĂ© plus encore ses jambes pour se donner Ă moi. Son sexe Ă©tait bien ouvert, laissant voir son intĂ©rieur rose. MĂȘme si elle venait d'Ă©jaculer et de cracher des jets de liquide, elle continuait de ruisseler avec rĂ©gularitĂ© et abondance. Les bas de nylon reprĂ©sentaient un Ă©crin pour son sexe. -Je voudrais que tu mettes une main en moi et que tu me caresses Ă l'intĂ©rieur. En lui glissant une boite de bas stay-up dans son tiroir Ă collants, j'avais rĂȘvĂ© d'un moment exceptionnel. Je n'avais pas imaginĂ© que ça serait Ă ce point, ni que je serais mis Ă contribution. C'Ă©tait de l'inĂ©dit pour moi, mais je me sentais tout Ă fait partant. Ces derniers temps, nous avions sans doute trop Ă©tĂ© dans la routine. Une paire de bas avait radicalement changĂ© la donne. C'est sans doute parce qu'elle Ă©tait aussi lubrifiĂ©e et ouverte que ça a Ă©tĂ© facile. Un doigt, puis un autre...J'ai instinctivement repliĂ© le pouce Ă l'intĂ©rieur de ma main, et je n'ai mĂȘme pas eu Ă pousser ma main en elle. Ca a glissĂ© tout naturellement, avec la vision de ma main disparue en elle. AvalĂ©e, engloutie, un peu comme si on m'avait coupĂ© la main. Mais c'Ă©tait en mĂȘme temps tout le contraire, car ma main se remplissait de sensations intenses, et nouvelles, je sentais autour de moi son intĂ©rieur, dans toute sa complexitĂ©, sa richesse. La chaleur, l'humiditĂ©, et le relief riche de son ventre, son dessin tortueux et complexe. Un instant figĂ©, je me suis mis Ă la caresser, avec la volontĂ© de lui donner le meilleur de moi-mĂȘme mais aussi en mĂȘme temps de cartographier son intĂ©rieur pour pouvoir y repenser plus tard. Souvent, quand j'Ă©tais seul, je me donnais du plaisir en pensant Ă elle, Ă des dĂ©tails, Ă ce qu'on avait vĂ©cu ensemble. Une expression, une sensation, un Ă©lĂ©ment de son corps, et je partais trĂšs vite vers le plaisir. Je m'efforçais de tout mĂ©moriser parce que je vivais dans la crainte de la perdre. Je n'avais pas eu des moments positifs avec d'autres femmes, et j'Ă©tais habitĂ© par cette hantise. Que du jour au lendemain, tout soit fini. J'ai amenĂ© mes doigts sur son gland clitoridien, qui s'Ă©tait dĂ©calottĂ©, et je l'ai caressĂ©, en mĂȘme temps que je continuais Ă la fouiller. Elle a eu un sourire qui m'a fait penser que j'avais eu une bonne initiative et que son plaisir Ă©tait au maximum. Je savais dĂ©jĂ comment ça finirait. Cela faisant deux ans qu'on Ă©tait ensemble. Dans les premiers temps, on utilisait des prĂ©servatifs, puis des tests nous avaient permis de nous en passer. Ce qu'elle aimait le plus que tout, elle me l'avait clairement dit, c'Ă©tait de sentir mon sperme jaillir en elle, jet aprĂšs jet, sans l'obstacle du prĂ©servatif et ensuite de garder ma semence en elle, en basculant en arriĂšre un moment pour qu'il dĂ©gouline plus profond, en contractant ses muscles vaginaux pour le fermer pour ensuite le sentir sortir et couler d'elle, dans sa culotte. Un plaisir dont elle ne se lassait pas, et qu'elle aimait faire durer. J'avais mis ma queue Ă nu, j'Ă©tais trĂšs dur, la queue raide Ă en ĂȘtre douloureuse. Je me caressais pour soulager la tension qui m'habitait, en Ă©vitant de me faire jouir. -Viens, maintenant, j'en peux plus, j'ai envie de te sentir en moi. Elle Ă©tait certainement proche d'un nouvel orgasme, et moi aussi. On Ă©tait sur une mĂȘme ligne, nous nous y Ă©tions rejoints, et c'Ă©tait seulement avec elle que j'avais cette expĂ©rience de jouir quasiment ensemble, en symbiose. Elle faisait en sorte de faire que je la rejoigne quand elle sentait qu'elle allait jouir, ou qu'Ă l'inverse, quand elle sentait que j'allais jouir, elle me rejoigne dans le plaisir. Je me suis redressĂ© et rapprochĂ© d'elle. Elle m'a caressĂ© doucement de la main. -Tu es trĂšs gros...C'est parce que j'ai mis des bas, ou parce que tu m'as caressĂ©e Ă l'intĂ©rieur ? -C'est un tout. Je suis rentrĂ© en elle, accueilli par le sexe qui m'a enveloppĂ© comme un gant, doux et chaud. Des moments comme celui-lĂ valaient tout l'or du monde. J'ai glissĂ© en elle jusqu'Ă ĂȘtre totalement avalĂ©. -Ca me rend folle de sentir ta queue en moi, chaude et dure, de sentir qu'elle me caresse, et qu'elle crache ton sperme brĂ»lant...Je crois que je ne pourrai plus m'en passer. Elle s'est laissĂ©e aller au plaisir, totalement abandonnĂ©e, alors que je bougeais en elle. Elle se mordait le doigt, alanguie contre le dossier du divan, ses liquides intimes coulant autour de ma queue, comme pour mieux faciliter mes mouvements en elle. Elle a commencĂ© Ă jouir quelques secondes avant que le premier jet de sperme ne vienne taper contre ses parois internes, suivi par d'autres qui l'ont faite se tordre et gĂ©mir. Pourtant, et je pouvais me le permettre parce que j'avais des Ă©jaculations copieuses, exceptionnellement, je ne voulais pas balancer tout mon sperme en elle. Les choses Ă©taient diffĂ©rentes. J'ai sorti ma queue d'elle. En plein trip, elle ne s'en est pas rendue compte. J'ai dirigĂ© mon gland dilatĂ© vers ses cuisses, et un premier trait de sperme, le blanc crĂ©meux contrastant avec le noir des bas, a atterri sur le lycra. J'ai maculĂ© ses deux cuisses de semence, avant de finir en me frottant contre la matiĂšre. C'Ă©tait Ă©lectrique et excitant contre mes mains, ça l'Ă©tait encore plus contre mon gland, et j'ai Ă ma grande surprise eu un nouvel orgasme, crachant encore quelques traits de semence. Elle a commencĂ© de ramasser les traits de sperme pour les avaler. -J'ai bien fait de mettre tes bas. Ca t'a inspirĂ©. Quel bon moment! C'est bien d'habitude, lĂ , ça a Ă©tĂ©...Exceptionnel. J'ai pensĂ© en mon for intĂ©rieur qu'il faudrait que j'en achĂšte d'autres paires. XxHome Made. UPS AGUJERO EQUIVOCADO !! 201.7k 58% 19min - 1440p. Hot blonde model poses in her stockings, garter, and matching panties and bra and she knows how hot she looks. 4.2k 79% 9min - 360p. Little Riley takes a seat in her underwear, displaying her tits for your pleasure. 34.6k 99% 2min - 360p.100% 334 11 mars 2015 CatĂ©gories Description Jolie belle-mĂšre en Ă marre de passer sa vie Ă faire les machines de son beau fils sans jamais profiter du corps dÂŽathlĂšte qui se cache en dessous... Quand lÂŽoccasion se prĂ©sente de sucer enfin sa queue, elle nÂŽhĂ©site pas. Voir plus
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Confessionnal Par E-lsaaa - 12/11/2009 13:52. Aujourd'hui, mon copain glisse sensuellement sa main dans ma culotte, puis la retire précipitamment. Je lui demande pourquoi un cùlin aussi bref. Sa réponse : "J'ai un bouton de moustique sur la main, je voulais juste le gratter avec ta repousse." VDM.
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Unhomme de 33 ans est en garde à vue pour agression sexuelle. Mercredi 24 août 2022, gare Matabiau, il a mis la main aux fesses d'une jeune femme. Qui